Un soir, sous l'emprise de la drogue, Isaac Mendez peignait violemment une toille. Il avait de la peinture sur ses vêtement et sur son visage.
Il enchaînait des demi-cercles avec ses mains sur le grand tableau blancs. Puis il reprit une dose. S'endormit.
Le lendemain, il se réveilla, il se rendit compte qu'il avait dormi à moitié affalé sur une planche de bois posée sur deux trétaux. Il était couvert de couleur.
Il prit plusieurs heures à ranger le désâstres parmi ces peintures. Mais une l'attarda. Une peinture un peu floue qu'il avait peinte la veille. Elle représentait un automobile rouge, en feu, pencher sur un ravin. Le ciel était orange et la route longeait une montagne. Les vitres de l'appareil étaient cassées et une roue s'était éloignée de quelques mètres de son arcade.
La peinture l'attarda plusieurs minutes. Il la posa sur une étagère et la recouvra d'une légere bâche de plastique. Elle se fit oublier et sa protection prit place sur plusieurs de ses collègues.
Une semaine plus tard, Isaac acheta un journal à un petit garçon qui hurlait sa vente en ville. Il lut les pages d'actualité importantes sur un banc. Lu les bande-dessinées afin de s'inspirer, ferma le journal et rentra chez lui.
La journée suivante, Isaac voulu dessiner mais n'eut plu d'inspiration. Il compensa cette perte en saisissant son journal qui traina là, et en le feuilletant rapidement... Il s'arrêta, haletant, sur un flash de faits divers. La bouche entre-ouverte, il se rappela sa peinture.
Ce..non.. ce n'est pas possible...!
Il courru vers l'étagère, prit sa peinture et vint la claquer à côté du journal. Il se posa à quatre pattes sur le journal et se retourna sur son oeuvre.
Mais... Les dessins correspondent ! C'est impossible !
Il appela Simone pour lui annoncer la nouvelle.
Il faut que.. Il faut que tu viennes. J'ai.. j'ai dessiner l'avenir..viens vite ! Annonca-t-il en criant.
Mais enfin, Isaac calme-toi ! Tu dois arrêter la drogue. Et elle raccrocha.